Kiriyatskiy Alexander, le poète et philosophe - Кирияцкий Aлександр, поэт и философ

Poésie de syllabe d'Alexander Kiriyatskiy

Strophes poétiques politiques
 des poèmes philosophiques:
 Les métriques se réaniment

À une sphère du grand abîme

La mafia d’argile estime
Cette ère hiérarchique sans mœurs.
Je renais des hommes en peur
Pour ces vers avec ma rime.
Mon grand père
compositeur
De Russie était mon crime,

Car j’envoie tout cet argent
Pour lire sa musique
classique
À l’ordinateur… Je pique
L’œil qui voit vos requérants
D’asile, griffe son hystérique
Voix du roi des autres gens.

Aujourd’hui, pour obtenir
Sa fortune sauvage, il faut
Vivre pour nos règnes des faux
Dieux qui cachent ton avenir
Au dessus son aire des feux
En désert, sous ce plaisir.

Hors des jeux en loterie,
Le talent n’aura nulle chance
De gagner l’indépendance
De son esclavage qui rit
Sur toutes nos intelligences
Sans consécration chérie,

Où des œuvres plus géniales
Ne verraient jamais leurs scènes,
Si ne les signait nulle main
Du gouvernement mondial
Qui fait, comme rompt, nos destins
Par l’imperfection spatiale.

Au chef, sont pires ceux qui laissent
Leurs travaux hors du contrôle
Par l’élite, sans sa parole…
Qui est libre des richesses
Matérielles, ignore le rôle
Essentiel de leur noblesse.

Quelles réponses naissent!

Tu abaisse ta jeunesse,
Michel Venne
. Sans ton stresse,
Ce corps gros s’intéresse
Aux bisness sans sa caisse.
Reconnu dépendant
De vos dieux et des clans,
Tu maudis chaque talent,
Où tu voles son argent.

Aux patrons appartient
Leur fameux canadien,
Car ne fait presque rien
Sans désir des doyens.
À travers les lunettes,
Tes États me rejettent,
Où préparent plusieurs dettes
Pour vos pauvres poètes.

Aux barbares va ta Rome.
Venne, oublie où nous sommes
Et t’oppose aux jeunes hommes…
…Tu es comme l’ours en gomme.
En hiver, tes vieux fourrent
Leurs bottes pour l’autre jour
Entre l’âge et l’amour
Du chanteur troubadour.

Reste, Venne, par mes vers,
Dans l’art de l’Univers,
Et évite ton enfer,
Car je bats tes chimères.
Mais ma Muse fait savoir
Que l’on rompt chaque espoir
Par l’esprit du "Devoir",
Où l’on cesse de le croire

Et refuse tous les grands
Sans mafia cependant:
Ce mensonge aux gens
Voit l’heure de l’occident,
Vit ton ombre morale,
L’homme devient l’animal.
Regardons des hautes salles
Sur la masse médiévale.

Parmi ces hommes, qui bien domine?

Ne critiquez jamais Staline,
La crainte pure sous chaque colline...
... En occident, l’idole de Chine
Fera trembler sous ses vitrines.

L’Europe imite l’enfant bientôt,
S’approche des cultes orientaux.
Comme à Byzance, son Bateau
Tire ses esclaves pour les manteaux,

Où l’âne heureux a tous ses droits
Pour son amour pratique au Roi,
Il ne demande pas: «Pourquoi 
Ses gens se groupent ainsi?», et croit

Aux forces des doyens sérieux,
Il aime ses illusions des «preux».
Il n’y a aucun bonheur bien mieux
Que sa foi d’homme comme ce des dieux

Du monde... Chasse nos sacrifices,
Où leur Démocratie actrice
Affirme qu’en Asie vide, puissent
Crier, comme en Afrique, Ses fils.

Aux peuples qui se développent
L'on dit leurs mots..., non à l’Europe.
En Amérique, tu calmes, stop!
Dont l’on t’arrête, car tu galopes.

Nos dissidents criaient en russe
Il y a trente ans, ouvraient l’anus
Aux concurrents par leur virus.
Ceux-ci sont morts pour vos sinus.

Venez ici, aux temps stupides,
Leur vie illustre: Qui nous guide
L'idée? Qui est toujours l’hybride
Des Buts divers des Yeux humides?

Cristaux de la Noblesse, Écoles
Parfaites, vous êtes plus chères paroles
Comme nos consécrations très molles
Pour vos "génies" sur nos épaules.

Racisme contre chaque talent

Essaye d’aider nos vies des blancs!
Car, aujourd’hui, ils créent leurs chants
Des rimes du Moyen Âge pendant
Les Hautes Croisades, en rédigeant
           Nombreux poèmes.

Au Canada, une femme très vieille
Pleurait souvent dans le sommeil
Pour sa Patrie... Comme vos bouteilles,
Elle est jetée sous le soleil,
           Son nom, Khilène.

En Israël, un clans la bat,
Car son individu abat
Les ordres pour nos russes plus bas
Que ses arabes maudis là-bas
           Qui laissent leurs chaînes.

L’a invitée son fils bestial
Qui habitait à Montréal,
Où son enfant se sent bien mal.
Mais il est né malade mental,
           Madame l'amène

À la raison de son enfer
Il aime beaucoup sa grande mère.
Et vos cœurs durs, produits en fer,
Règnent au Québec, l’expulse l’hiver
           Des âmes humaines,

Où le refus d’asile l’arrête,
Son origine n’est pas de bêtes
Sauvages qui coulent le sang en fête
Qu’à Montréal, vivent leurs conquêtes
           Qui se soutiennent!

Aux sacrifices blancs - les juges ont
Les cages et leurs serrures des zones,
Comme pour cette Dame. Par leurs maisons,
Le Canada cache ses prisons.
           Par Celles, sont pleines.

Digne Canada Hyène

Vos bandits rêvent que viennent
Leurs morts - bangladais lieNs
Et deviennent les doyeNs
Du futur canadien,
Que ne règnent plus nos pays
Des âmes européennes
Qui décèdent aujourd'hui.

Michel Venne, tu attends
Que frappait le Coran
Dans ton appartement,
Que nos fils quittent, vraiment,
Le Nouveau Monde Entier
Qui oblige vos gourmands
À laisser leurs quartiers.

Que vivent tes immigrants
Noirs ou chers musulmans.
Nos cultures des hommes blancs
Sont les peaux sur leurs glands
Qui se coupent pour la "paix",
Dont ces autres jeunes gens
Peuvent, sans doute, se grouper.

Par la vie des robots,
Ce Chaos se sent beau:
Que volaient les corbeaux
Comme leurs êtres verbaux
Contre l'art des Chanteurs.
L'on Les tue par les baux,
Humilie le malheur!

Mais partout resteront
Les Masses grises. Leur Baron
Porte l'ordre du trône
Africain, tient son Bon.
Que, ici, soit Sa terre,
Où les autres se vont,
Car évitent les longues guerres.

J'appartiens à la race
Inférieure qui ne passe
Pas ce tour. Et l'espace
La rejette comme plus basse.
Notre type doit mourir.
Les asiates nous remplacent
À travers leurs désirs.

L'arbre est l'avenir.

                     "Intellect" de Plotin à travers ses interprétations de
                         Madame le Professeur Alexandrine Schniewind

Un, en absence du mal, existait sans chaos, sans océans et sans terre.
La Perfection d'Absolu ne régnait qu'en Lui-même. Car de toutes les manres
C'est, Ce sera et C'était l'Un qui ne cherche rien et engendre les sphères,
Cet Un a tout ce qu'il est dans le temps et se rêve à travers les matres.

L'Ordre, Étant plus Parfait, surabonde de tout. Mais cette sUrabondance
Fait toutes nos choses trop partielles, différentes de Lui à travers les distances.
Comme chaque objet fécondé se retourne à l'Un, car voit l'intelligence
Par le regard sur le But, tout reçoit l'Intellect et éduque la Conscience.

Par ce cadeau extérieur, l'Un rejette les planètes qui deviennent raisonnables.
Mais en Olympe, cet Un les reflète par leurs noms des potences probables,
à la fois, reste Sa perception du Bien, l'être actif, la vie stable,
Dure en pratique. Cette raison potentielle leur formule le cerveau véritable.

L'art en effet donne la double puissance aux Feux du cosmos intelligible.
Les fleurs d'idées Les animent comme rapprochent du miracle des causes très visibles.
Pour l'inhérence des hauts actes, est réfléchie la nature compatible
Au long chemin aux contacts avec Ce qui était au-delà impossible.

Pour sa deuxme conception est conduite la vision bien réelle et plus pure.
Lorsque l'on a l'aile de l'inchoation des sensés, l'Intellect inaugure
L'indépendance du mal présent qui assassine, à travers chaque blessure,
L'imperfection. Comme l'étoile, le penseur, procédé de son Un, se figure

Par les abîmes de songer comme de voir notre Ciel. L'horizon des unions
Ouvre plusieurs hypostases et leur rang des Principes à nos contemplations.
L'homme est en Dieu, dans ce monde et sur l'extase des belles compréhensions.
Dans l'escalier hiérarchique, l'amphibie âme vit entre ses trois distinctions.

                           Par Charles Bovelles, car par Boèce       

Chaque action passe ses distances
Des niveaux pour l'expérience,
À travers deux Providences.
L'ombre garde toutes les choses.
Mais ce Vivre crée la rose,
Car sa plante nous expose
L’inférieure vie, par l’essence…
L’animal gagne le Sentir,
Mais ce sentiment suppose
Sa douleur pour son plaisir.

La notion «Comprendre» pense
Et formule nos sages de science,
Sur lesquels, leur belle Substance
Raisonnable se transforme
En Individu des ormes,
En Sujet parfait des cormes.
Et l’humaine intelligence
Mène l’objet au contenu,
Rompt ses vides raisons qui dorment
Sans cosmique aile obtenue.

La nature réelle démontre
Que l’on cache l’île de rencontres,
L’homme a opposé l’âme contre
Sa partIcularité
Qui devient l’art sans beauté,
Restaurée par soi. Dictez,
À vos créateurs, leur ordre.
Ouvre l’autre porte vue
Qui n’a nulle simplicité,
Où illustre nos débuts.

Ce cosmos tient deux fenêtres
Pour renouveler nos Êtres
Modifiés, mais doit connaître
Dieu qui règne toujours au centre
De deux énergies qui entrent
Dans deux guerres, où l’une veut tendre
À détruire, comme sans nos lettres
Ni paroles, tout l’Univers.
La deuxième mangea pour rendre
Tous, aux trous noirs, l’astre hier.

C’est pourquoi, leurs pyramides
Se construisent, par les morts vides
Des esclaves, en Atlantide.
En Égypte, naissent plus tard.
Car ces cimes lisent les regards
Des forts pharaons miroirs
Du visage avec les rides.
Au royaume des immortels,
L’on décède pour leur nectar,
Par un verbe corporel.

Et l’imperfection traverse
L’Univers. Ses causes diverses
Sont celles neutres. L’ordre verse,
Sur leur feu, l’appartenance
Au partiel Bien et, sans chance,
Au Mal faible en absence,
À nulle forme. L’a chaque terse
Galaxie qui s’élargit.
En même temps, les existences
Aiment leurs trous pour les bougies.

Dieu augmente nos grises masses
Par nombreuses vitesses qui passent
Très rapide plusieurs espaces,
N’éloigne pas toutes les étoiles,
L’une de l’autre, vers le mal.
Tout grandit, car va égal
Dans ses lieux plus grands, embrasse
Les bien plUs hautes proportions
Qui sont l’harmonie spatiale
Pour chaque galactique chaînon.

Mais leur cosme développe
Chaque sphère. Pour porter ses aubes,
Dieu possède leurs propres tropes
Intérieures dans les planètes.
À quelqu’un, Dieu donne les fêtes
En hiver des plantes… Bête,
Tu t’élèves, mais tapes tes robes,
Et t’opposes aux peaux de diable,
Tu conduis ta tête concrète
Aux premiers yeux raisonnables.

Sont soixante dix mille ans,
En arrière, l’homme dépendant
Fait voir Absolu pendant
Les volcans de la Saumâtre!
Sa première aile le fait battre
Pour son but dans le théâtre
De l’assassinat des gens.
L’opposé aux animaux
Naît, vit, sent et sait que quatre
Existences fixent nos mots.

Vers la fin de l’ère glaciale,
L’homme a faim mais se dévoile.
Pour manger, tient l’animal.
Il y a treize mille ans, caverne,
L’on dessine l’image moderne
Sur tes murs, lorsqu’il est terne.
Dont s’éduque l’esprit moral,
Sur la terre avec le chien
La charrue grosse, comme la lierne,
Est en boîte. L’âme jette les grains.

Trucs des clans

Ces esclaves allemands
Invitèrent requérants:
Pour violer vos enfants
Contre tous les jeunes gens
Qui, en fous, interdisent
De, partout, baptiser
Tes bébés!... Sont soumises
Leurs souffrances baisées!
Toute l'Europe divinise
Son futur sans églises.

Sont ouverts tous les pays!
Leur dragon humilie
Comme en sa Somalie!...
Concubines, sur vos lits
Oubliez toute l'histoire!
L'occupant vous menace,
Par ses tristes victoires,
Investit nos espaces!...
Qui exige ce pouvoir
Et oblige à le croire?,

Où nait ce tour géant
Qui soit indépendant
En Europe d'immigrants.
Qui régnait, tue ses Grands,
Assassinent sa beauté.
Où cette vie veut aller?
Vous oblige à heurter
L'âme à l'aire des palais,
Ce chaos va rester
Au mal d'éternité,

Et New-York des gardiens
Bat l'Europe comme son chien,
Fait manger le vilain
Par ses peuples "syriens"
De Maroc, d'Algérie!
L'on achète leurs passeports
En Turquie. L'arme crie
Sur tous: «Eau des «dieux» forts!»
L'invasion des souris
Très avares vous fleurit,

D'où la Chine vous invite.
Sans islam, aille très vite
Aux indiens. Vos visites
En Brésil, tout de suite,
Se préparent à Berlin
Des «amis», où sa foi
Sans Jésus au chemin
Des stupides, prend son droit
Sur leurs villes dans les mains
Étrangères sans chrétiens.

O, Français, quitte la France
Pour quelle indépendance,
Exécute l'exigence
Du destin en croyance,
À genoux, Angleterre,
passes l’état bien critique,
Fais détruire tes frontières,
Disparais en panique!
Tu conduis à nos guerres,
Pour ta foi, Univers.

Car les secrets de Dieu incompréhensibles, et la vertu effectrice contingent de longue éstetude de la cognoissance naturelle prenant leur plus prochain origine du libéral arbitre, faict apparoir les causes qui d'elles mêsme ne peuvent acquérir celle notice pour êstre cogneus, ne par les humains augures, ne par autre cognoissance, ou vetru occulte, comprinse soubs la concavisé du Ciel mêsme, du faict présent de la totale éternité, qui vient en soy embrasser tout le temps. (34-36. Préface de M. Nostradamus à ses Prophéties. Ad Caesarem Nostradamum filium, Vie et félicité.)

Car les secrets de Dieu sont incompréhensibles, et la vertu causale touche à notre longue attente de la connaissance naturelle, prenant son origine la plus immédiate dans le libre arbitre et fait apparaître les causes qui ne peuvent d'elles-mêmes faire acquérir cette connaissance pour être révélées, ni par les interprétations des hommes halitueux, ni par un autre mode de connaissance, ou un vertu occulte, comme sous la voûte céleste, du fait présent jusqu'à la éternité totale qui embrasse la globalité du temps. (34-36. Préface de Michel Nostradamus à ses Prophéties. À César Nostradamus fils, pour la Vie et pour la félicité.)

    Providence de notre Porte et l'autre ordre

                                        (en russe)

Dieu crée toutes nos dimensions, par leurs seins des matières cosmiques.
Comme aux étoiles, aux planètes donne Ses vies dans l'espace physique.
Leurs raisonnables envoient, à Dieu, leurs prières symboliques.
Chaque énergie naît divine, car passe sans cauchemar diabolique.

Mais je suis un philosophe des pécheurs, sans raison d'action.
L'on trouve l'abîme des questions sous la règle des traditions.
L'île de leurs cultes part. L'heure obscure rêve des répressions.
Son pain rassis perd ces phrases des mortels, par les combustions.

L'homme trouve la tombe des Fois par leurs dogmes au Moyen Âge.
Et ses serments ne sauvent pas. Pour leur fidélité en rage,
Griffent, contre Dieu, le mensonge, la foudre des maux images,
Que, par six jours, Dieu forma l'Univers, pour nos grands dommages.

Le paganisme hébreu n'a pas pu savoir l'Univers,
Car ses légendes enlèvent nos poètes classiques, par les vers,
À son Adam, l'on rejette toutes les sciences par leurs enfers
Des relations médiévales, où descend l'obscure âme dernière.

Les juifs limitent Absolu par les ombres grises sur la Terre.
Leurs sous-hommes croient en trois livres, en trois religions sévères,
De cette façon de leur diable, "daignent" l'explosion des chimères,
Car leurs symboles vêtements vivent pour nos folies populaires.

La connaissance d'Égypte, la vole Moïse non sur Sion.
Ce roi hébreu manifeste l'exil des malédictions,
Car il a dit à son peuple que l'homme pur vit pour l'union
Libre avec Dieu comme Ra égyptien des circoncisions.

Dieu ne lui ouvre nulle révélation vraie comme à Platon,
Ne soutient nulle phrase des voleurs d'idées hors leurs trônes.
Qui connait bien Absolu, n'était adoré par personne
Et, comme Socrate, ne se divinise pas, s'oppose aux couronnes.

Qui entend Dieu en soi, pour les gens trouve ses sincérités.
L'on conduit le mensonge de Moïse vers la fidélité
Trop fanatique aux récits bizarres contre nos vérités.
Ce mythe stupide du menteur cultiva notre mutité.

Dieu est l'Amour, Il répond aux chansons et invite la Foi
Vers la paix, non à la guerre infernale opposée aux lois.
Dieu nous dévoile que beaucoup de "prophètes" mentent pour les droits
Des religions, vont "Chez toi, oh Souris" (1) en hébreu des rois.

Les télépathes chassent nos mots des parfaites communications.
Qui n'a ni bras, ni pied pour avoir notre crucifixion,
N'a aucune chance sur les paradis faux sans nos notions?
Pour la lecture des idées, le maudissent nos trois religions,

Toutes les croyances aveugles (des juifs musulmans chrétiens)
S'opposent aux saintes âmes des autres planètes, mais rejettent leur Bien.
L'extraterrestre raison n'a nulle croix et chaque clair chemin
Sans leurs mémoires n'est jamais raisonnable et ne coûte rien?

Crois que le fils de Marie est né du Saint Esprit Sauveur,
Se lève sa Résurrection. Par celle, Il devient le vainqueur,
Du temps obscur, il allait aux hommes par le libérateur
Des gros barbares. Pour eux, Christ nous explique ce trésor des peurs.

La quantité infinie des divins fils l'a l'Univers,
Montre leurs buts aux civilisations cosmiques à travers
Nos multiformes qui veulent s'approcher d'Absolu pour faire
Ses harmonies très partielles, où naissent leurs mêmes fils divers.

L'ordre vitesse de leurs temps fait céder aux réels rapports,
Mais la folie divinise nos stupides traditions des corps.
Et les bougies s'obscurcissent sous les lampes. Chaque temple, hors
De nos symboles, est l'idole. Dieu excuse, malgré nos mots morts.

      ________________________________________
      (1) "Chez toi, oh Souris - alàkh akbàr" en hébreu


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